le plus long chemin

s(suite de https://internat-artima.forumsrpg.com/t45-reveil-solitaire)

brisé et doulpoureuse je me traina a travers le parc et puis je prénétra enfin dans le vestibule comme le démon john black avait pénétré ma fragile intimité et mavait volé mon inocence.
au souvenir de cet imonde douleur je gémit et mon corps bas se contracta avec douleur. je me sentit saigner et je me brisa presque sous mon propre poid mais je continua avec douleur.
je me sentait mais et le vestibule était tr`res sombre et c'est avec terrue rque je réalisa que sur le plafont et les murs loingtains était installé la coruption horrible et tentaculaire que john black tissait autour de lui par son ame putride et inhumaine..

soudainement, je sentit des tentacules fondrent sur moi et je les combatits avec peine, même si elles magressai férocement en voulant me volé encore plus les morceaux brisées de mon innocence. elles grimpaient contre mes jambes et déchiraiet ma nuisette. quand elles touchaient mon corps je me sentait brulé et tremblé de froid et de honte en même temps. elles voulaient me touché a mon plus intimes pour me faire encore plus de mal et je souffrait à les commbartre avec impuissance.

les tentacules de corruptions de john black était contre moi maintenant et me fesaient mal. elle me prirent et me couèrent au sol avec la vigueur de la haine et soudainement elles ne firent que matach.é. jétait térorisé et brisé par la bouleur et la honte.

soudainement je vie saproché de moi comme une marionette faite de cadavres : ilira etmek,. je cria encore de peur. cette femme qu'autrefois était mon idole avait été. tuer et agressé par john black et maintenant il la manipulait a venir a moi comme une marionette. avec horreur je la vie saproché et son visage mourant au yeux vide et a la peau sombre et blafarde car elle avait saigné. sus son visage était trop près du mien. je voulu fuir et me battre mes les tentacules l'emprisonaient encore avec force.

soudainement le bas du corps d'iliria explosa en une nueé de tentatucles de corruption et je les senties mexploré a leur tour. de ses mains d'aigle squellettique et noir comme la mort le specter d'etmek déchira définitivement ma nuisette et attrapa ma poitrine fragile et c'était comme si elle brulait ma chair sensible. mes jambess urent un spasme et se contractère pour protégé; mon intimité mais vite une nouvelle paire de bras faite de tentacules me contraignit à les ouvrir...

je cria encore alors que le visage du fantome torturé d'idia etmek s'aprocha du mien et mordi mes levres brulant. jeut un spasme de douleur et elle recula avant de m'attaqu. de plus belle. ses dents vampiriques mordirent ma jambe. quand john black m'avvait abusé. javait été inconsiente mnais a cet instant j,était incapable de m'échapé a la réalité et quand je senti les tentacules durent, froides et visqueuses entré en moi par mes parties intiment et tremblantes. je cria de douleur alors qu'eles me brulaient férocement en s'agisant avec vigeur comme si elles me déchiraient à l'intérieur. jeut tres mal et je cria encore et encore mais c'était comme si idia etmek, maintenant qu'un spectre mort vivant controlé par l'infame john black, n'allait amais arrété de me torturé ainsi...

je me contractai de douleur sur le sol pendant qu'idia, ou plutôt son spectre affreux, m'abusait toujours de son horreur de corps tentaculaire qui était entré en moi et voulait me déchiré en volant les miettes douloureuse de mon inocence. cherchant à combattre poour une dernière fois je cria :

Idia Etmek, je sais que tu mérite la paix et pas l'esclavge a john blakc l'homme qui ta violé et fait de toi un spectre afffreux.... je veux que tu sois libre11!<

soudainement elle arréta ses allés et venu même si elle resta dans moi. son visage et son torse humain mais mort et sanglant s'aprochèrent de mon visage et d'une voix d'outre tombe mais qui était loingtainement celle qu'elle avait eut dans sa vie, le corps enseignatn autrefois belle et gentille me dit

libère moi, je t'en pris. libereme moi par l'amour!!

puis ses levres bleu sombrent s'aprocherent des miens et je compris qu'il failait que je l'embrasse avec tout mon amour pour quelle soit libre de mourir en paix!
nos bouche se rejoignirent en une étrinte brulante de peur mais je pensa très fort a velaria sorensen, la fille que j'amais le plus au monde a qui je ne pourait jamais maintenant donner mon inocence et la le baisé devin prèsque agréable.

soudainement, idia fut libéré en une explosuion de noir et d'amour et sur mon corp nue et blessé tomba celui, en pareil état, de mon ancienne proffesseur. elle était morte et froide, mais bien elle même. mes parties saignaient mais était vidé du mal corupteur qui les avaient si ardement violé pour le faire le plus de mla possible.
trainante, je poussa idia de sur moi avec douleur et la placa dans une position digne. je croisa ses bras sur son torse et je ferma ses yeux. j'embrassa son front puis je parti, cherchant le réconfort de celle que jaimais le plus au moinde..

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